COUP DE COEUR : HIGHLANDER
CE QUE LE FILM NE NOUS DIT PAS...
ATTENTION ! Il sera fait ici mention du film inspiré de l'oeuvre de Grégory WIDEN, et non des séquelles plus malheureuses les unes que les autres, qui ont été déclinées plus ou moins maladroitement.
Pour avoir enfin lu le livre HIGHLANDER, lâché pour une poignée de Livres Sterling par un eBayer londonien, j'ai enfin obtenu les réponses à beacoup de questions demeurées dans l'expectative.
Pour commencer, ce qui touche à l'essence même de l'Immortel. Il est clairement défini dans le livre qu'ils sont un nombre inconnu, qu'ils sont stériles de part leur condition, et que leur viellissement est certain, bien que considérablement ralenti. Pour preuve, le personnage de Ramirez est décrit par WIDEN comme :
un vieil aristocrate aux tempes grisonnantes, en pleine force de l'âge
, paradoxe s'il en est, car comment être vieux et en pleine force de l'âge ? La seule façon de les tuer est de les décapiter, mais ça nous le savions déjà.
En revanche, le Prix n'est pas décrit comme dans le film. Il apparaît ici comme une source de savoir infini, proche de l'omniscience. Plus question de télépathie ou de médiumnie, comme mentionné par Lambert-McLeod à la fin du film.
Pour finir, il n'est fait nulle mention du sexe des Immortels, ce qui laisse la place franche aux couillons producteurs de la série et scénaristes du triste et fade "endgame", qui ne mérite d'exister que par la présence de Betty Eadney, éternelle Heather McLeod...
On apprend également que Iman FAZIL est Kurde, que Sunda Castaguir ( joué par Hugh Quarshrie, capitaine Panaka dans STAR WARS Episode I ) est Dominicain et que le KURGAN viendrait des steppes de Sibérie. Que le tableau de chasse de MacLeod s'étoffe d'un aute immortel attiré par la Rencontre : un Mongol du nom de Kane ( subtilement ignoré afin de se voir consacré le tristissime HIGHLANDER III, the sorcerer ).
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