RETOUR AUX SOURCES

C'est entouré de ma petite famille que je rentre sur mes terres natales, pour une petite huitaine de ressourcement ( je sais même pas si ça se dit comme ça ! ) et de remplissage d'énergies positives. Déjà la silhouette de mes VOSGES dessinent à l'horizon le plus beau des décors, et il me tarde déjà d'en refouler le sol revigorant et protecteur.

Au programme de cette semaine, pas grand'chose : revoir les arrières grands-parents de PAUL, car chaque jour qui passe désormais est une victoire de plus sur le temps qui court, visiter le camp du STRUTHOF, voir X-MEN III, visiter IKEA, et ne rien faire d'autre, si ce n'est se vautrer sur la pelouse au bord de l'Ill, nourrir les canards, pêcher, se baigner... profiter, quoi !

Sauf que là, il pleut comme vache qui pisse...

UN BASQUE EN BRETAGNE !

Tremblement de terre au pay des 7 qui n'en font qu'un : un enfant de chez eux se rend à Saint Brieu pour y devenir flic !

Dans les terres de Bayonne c'est la stupéfaction: personne ne sait vraiment ce qui est le plus grave : l'exil en terre bretonne ou la destinée choisie... de l'autre côté du Col, le silence est de mise, car la douleur est grande.

Pourquoi, Julen, avoir fait ça à ton peuple ? Pourquoi lui ajouter ce poids inutile sur un fardeau de souffrance déjà tellement pesant ? Pour le fric ? Pour la gloire ? Pour l'uniforme ? Pour les gonzesses ?

En tout cas, fais au moins de ton mieux, et fais onneur à ta famillee t aux tiens ! Bonne chance !

ZEU SPORT DU MOMENT

Le retour du DJOKEURAY


Ca y est, on y est: les beaux jours reviennent !!!
Et avec eux, mon jokari va retrouver le grand air, et la plage où je vais suer en m'éclatant...

Par contre, mon ami Gérard n'est plus là pour se prendre les branlées du siècle dont nous avions le secret...

Sa raquette viendra quand même avec moi, juste au cas où...

GROQUICK FOREVER

Ce matin, j'ai entendu à la radio qu'un acheteur anonyme avait fait l'acquisition d'une boite de NESQUICK portant l'effigie de notre regretté Groquick, le seul et l'unique ambassadeur de cette boisson de notre enfance; et ce pour la modique somme de 685 euros, à une vente aux enchères dont les bénéfices allaient au Sidaction.

Soutenons ces causes nobles, surtout lorsqu'elles permettent de raviver la mémoire du temps, et de ne jamais oublier celui qui un jour prit le train en saluant les enfants restés à quai par ces mots laconiques :

" au revoir, les enfants, je vous confie à mon cousin Quicky"... terrible image que celle de celui qui prend le train pour ne jamais revenir, ce premier chômeur dont le départ est masqué, caché, ignoré...

Moi perso j'aime pas le lapin. Y a peut-être un lien de cause à effet...